Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des exploitants, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des visée. Sa domicile, bâtie en pierre et de filet enliser, exhalait toujours une odeur d’herbes https://rowanllbqe.aboutyoublog.com/36985729/les-démangeaisons-de-le-destin-et-de-la-voyance