Le manoir se dressait, contraignant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une composition de cristal et métallique résistait encore au Âges : une serre oubliée, cachée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://franciscoepwek.myparisblog.com/34325818/le-jardin-des-obscurcissements-statiques