Le grimoire d’ivoire reposait censées lui, silencieux et invariable, mais il n’était plus vide. Les lettres toxiques qui avaient émergé à la surface de la chronique portaient une lourdeur inapparent, comme par exemple si elles s’accrochaient à l’air autour d’elles. Tout ce qui est lu modifie ce qui est vu. https://landenuddca.ka-blogs.com/87054797/l-empreinte-des-lignes