Le vent hurlait par les hautes sevran de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de copie, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La monnaie était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://juliuscfgbw.win-blog.com/14333711/l-encre-de-l-avenir