L’aube s’étendait mollement sur Venise, projetant une vie pâle via les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la clarté, comme un puits sans fond. La philanthrope vénitienne restait figée amenées à le support lisse du verre, son regard verrouillé sur la silhouette indistincte https://sergiogtzik.eedblog.com/33962542/l-ombre-du-vitrage-brisé