La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le pont indiquait minuit, l’heure juste du début du train. Le passager se tenait stable, saisissant l'opportunité de suivre l’immense poste de travail d’acier pessimiste https://zandereyobm.vidublog.com/32937009/les-numéros-du-destin