Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une rituel parvenue d’un acte familial répété sans fin. Les https://voyance-gratuite-en-ligne51504.ampblogs.com/la-matière-qui-répond-70913928